Comme Dunkerque et ses environs sont des milieux urbains, la faune est donc moins développé, en effet, la ville est répulsif pour les animaux à cause des nombreuses nuisances sonores, de la pollution, du manque de végétation…

 

Cependant, la ville -et donc Dunkerque- est considéré comme un écosystème car même si son biotope (l’environnement) et sa biocénose (l'ensemble des espèces) sont peu développés et déséquilibrés (l’homme ayant un impact très important sur le milieu et les êtres vivants de ce milieu); des espèces y vivent tel que des oiseaux (moineau, mouette, rouge gorge, pigeon), des insectes… Lors de notre rencontre avec le directeur des espaces verts de Dunkerque (et directeur du projet de plantation de 10 000 arbres), nous avons évoqué le rôle des arbres dans la biodiversité du dunkerquois. Il nous a fait savoir qu’ils essayent de mettre en place une “connexion” entre tous les arbres plantés. En effet, un de leur objectif est de s’assurer que les animaux ou les insectes qui côtoient ces arbres puissent passer d’un arbre à l’autre, d’un espace vert à l’autre sans difficulté ni danger : par exemple ils évitent de planter des arbres d’un côté d’une rue puis de continuer de l’autre côté. Il nous parlait de “route” pour le passage de la faune d’un milieu à l’autre dans la ville.

 

Même si les arbres sont peu peuplé par des animaux ou insecte en ville (compte tenu des inconvénients déjà cités) mais reste important principalement lorsqu’ils sont en groupe: dans des espaces vert ou des parcs. Ainsi se développent de mini-écosystèmes regroupant des êtres vivants.